Tuesday, November 07, 2006



Ici, il y aura bientôt, il devrait y avoir une pièce radiophonique
avec les voix de Marta Timón, Toni Arteaga, Ariadna Matas, Salva Puig et quelques fragments de musique.

Elle existe aussi en version Flash mais elle comprend une centaine de photos, en particulier celles de Zohiloff, Rafael Vargas et Jorge Tutor (et j'ai besoin de leur accord ainsi que d'un tuyau pour l'accrocher.)

En attendant, ce sera un texte audio, en espagnol (désolée).
Mais il faut imaginer une grande marionnette, oeuvre de Mélanie Keeling, un ordinateur et un écran géant. L'éclairage est faible.

Ça commence comme ça, avec Sunrise, sunset de Bright Eyes, on s'installe, l'écran est animé...



Upload music at Bolt.

Là,

4 Comments:

Anonymous Anonymous said...

Deuxième essai.

J'ai tenté de poster un commentaire hier. C'est-à-dire, j'ai cru l'avoir fait jusqu’à ce que je découvre aujourd'hui que ça n'a pas fonctionné. Peut-être aurais-je plus de chance cette fois-ci?

Je disais, hier, comment j'aimais Sunrise, sunset, en ajoutant qu'il y a de toi dans cette chanson. Quelque chose d'un peu dure sur les bords, ainsi qu'originale, variée (imprévisible?) et saisissante.

Mais ce n'est qu'une étoile parmi les milliards d'autres qui font la beauté d'une galaxie. C'est pourquoi j'ai toujours voulu que tu écrives, que tu transmettes ta vision du monde à travers ton oeuvre, que d'autres puissent voir ce que moi j'ai eu la chance de voir, que d'autres puissent être transformés par l'expérience.

À suivre…

7:46 PM  
Anonymous Anonymous said...

La suite:

Quand je t’ai rencontré, il y a exactement dix ans, tu m’as complètement ébloui. Cherchant à te décrire à mes amis, il m’est venu l’image d’un diamant de la taille d’une table de salle à manger. En autres mots, c’était pour moi une révélation de découvrir que l’univers recelait une si magnifique créature. Il y a en toi comme une lumière, un petit soleil presque aveuglant, une source quasiment surnaturelle de force, de joie et de liberté. Et ce qui a de particulièrement séduisant chez toi, et certainement de troublant, c’est qu’on est bien obligé de reconnaître que ce qui te rend si exceptionnel est en quelque sorte à la portée de tous. Mais pour te suivre dans cette voie, il ne faut pas avoir peur de souffrir. Je ne parle pas de chercher la souffrance; non, cela n’est pas nécessaire, car la souffrance sait très bien nous trouver sans notre aide. La souffrance est inévitable; ce qui ne l’est pas, c’est comment nous choisissons de la vivre. Chaque moment de souffrance nous ouvre une porte derrière laquelle se cache un petit trésor, une potion magique qui donne le pouvoir à l’âme de faire des miracles. Il est bien évident que le feu qui brûle en toi est né de la souffrance, ou, plus précisément, est né de ta réponse à la souffrance; et que celui qui brûle en moi, depuis dix ans, représente toutes les portes que j’ai franchies dans l’espoir de me rendre jusqu’à toi.

7:13 PM  
Blogger incognit-ho said...

Monsieur, si vous aviez un blog, je pourrais me lancer à mon tour dans la valse des compliments mais ici, je me demande bien ce qu'on va penser de cet éloge démesuré... (heureusement que j'ai très peu de lecteurs). Les Américains voient toujours trop grand, ce qui est assez séduisant, aussi.

7:08 AM  
Anonymous Anonymous said...

Madame, la vaste majorité de tes lecteurs ne sont pas encore nés, alors pourquoi s'en faire?

8:07 PM  

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